vendredi 26 juillet 2013

La situation se dégrade à La Cayolle

Les inscriptions sont toujours là malgré les appels
On peut les compter sur les doigts d'une main ces jeunes individus qui ont décidé de faire suer les résidents de tout un quartier. Cette nuit vers 2h30 a commencé le rodéo d'une Audi volée. Elle sillonnait notre quartier à une vitesse folle en faisant le plus de bruit possible lors des montées des vitesses et des passages aux ronds points. A 3h30 la transmission du couple et de la puissance moteur aux roues avait lâché. Ils ont accéléré à fond dans le vide pendant de très longues minutes. Le joujou cassé, ils y ont mis le feu. Le vent venant du sud les fumées épaisses et toxiques se sont rabattues sur les habitations. Les résidents qui dormaient les fenêtres ouvertes ont été très fortement incommodés. Un très jeune enfant, souffrant d’asthme, a dû aller aux urgences. Une demie heure après les marins pompiers sont intervenus. Des habitants dégoûtés ont affirmé avoir appelé le 17, ils ont vu aucune patrouille de police monter.

Ce matin tous les services de MPM étaient sur le terrain
Il semble que le même groupuscule opère depuis trois semaines entre minuit et 3h. sur l'allée des Pêcheurs au niveau de l'immeuble de l'Hermitage. Munis de lasers ils violent l'intimité des habitants en projetant les faisceaux lumineux dans les pièces des appartements. Si d'aventure une victime demande le respect de son sommeil, elle est copieusement insultée. Dans une autre partie de notre quartier ces mêmes individus se sont amusés à jeter des pierres pour briser les vitres d'une villa.

Si le sentiment d'insécurité remonte chez les habitants, il grimpe aussi pour les personnels de MPM. Le cantonnier, déjà agressé, a été menacé de mort car il nettoyait devant un débit de boisson. MPM a déposé plainte. Un conducteur de laveuse a non seulement fait l'objet de menaces mais a été dépossédé des clés de son engin car il dérangeait le sommeil d'un mauvais coucheur matutinal.




1 commentaire:

Kapa de Marseille a dit…

Mes pauvres amis. Et vous n'avez pas fini de souffrir, car aucun politique ne prendra le risque de s'attaquer au problème de ces quelques personnes qui en emmerdent un maximum. Même la police ne se déplace plus, de peur de provoquer une émeute. Car le problème est là, pas de vagues et ces personnes à qui on ne dit jamais "stop", ils se croient tout permis, ils ne craignent plus "dégun". Alors, chers citoyens, souffrez, tout le monde s'en fout, tant que vous ne faites pas de vagues.